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Vous avez dit Cinéma?

Vendredi 30 octobre 2009 à 15:57

http://all-the-movies.cowblog.fr/images/convoyeur.jpgLe Convoyeur (2003) réalisé par Nicolas Boukrief
Avec Albert Dupontel, François Berléand, Jean Dujardin, Jules Boissolier...
SynopsisC'est dans un contexte en pleine crise, que la société de transport de fonds "La Viggilante", qui a connu trois braquages en un mois, arrive un étrange personnage appelé Alexandre Demarre, qui est-il et que cherche-t-il?

 Ma Critique : Je ne saurais pas faire ce blog, sans vous cacher que je suis un fan d'Albert Dupontel car j'admire particulièrement ce qu'il joue et ce qu'il réalise. C'est un des seuls cinéastes français à oser réaliser des films, a la tournure de Chaplin avec un air de Roberto Begnigni et à la tournure... particulièrement Trash généralement. Le meilleur film où il aurait joué, ce serait vraiment celui-ci.
 
Nicolas Boukhrief (également réalisateur de "Le Plaisir et ses petits tracas" avec Kassovitz et Cassel), s'est appliqué dans la réalisation, en mettant un peu partouts des indices qui nous permetterait de voir plus clair, dans le personnage d'Albert Dupontel, Alexandre Demarre. Homme pratiquement muet et très impulsif, on découvre au fil du film qu'il aurait perdu son fils dans un accident dû à un camion transporteur de fonds, braqué (un des braqueurs a tiré sur Alexandre et son fils). On s'aperçoit au bout d'un moment, que Alexandre ne s'est engagé dans la sciété "La Vigilante" juste pour découvrir la taupe de la société et éclaircir la mort de son fils.

L'ambiance du film me fait particulièrement penser, à un jeu vidéo très réussi, auquel je jouais étant plus jeune, il s'agit de "Hitman". Il développe donc une ambiance glauque, froide, ou le bleu (les uniformes), le blanc (le carrelage du batiment) et le rouge (le sang) apparaissent pour dévelloper un contraste qui met vraiment mal à l'aise. Le film est triste, dur, ultra-violent, glauque et extremement sombre. On pourrait croire à un simple film de pan-pan, mais c'est beaucoup plus subtil que l'on croit. C'est incroyable et noué d'un suspens assez insoutenable. Le film est servi d'un casting sans reproches, avec évidemment Dupontel (parfait), Jean Dujardin (y en a que pour lui) qui fait du jean dujardin mais en plus sombre étant donné que c'est lui la taupe de la société, Julien Boisselier jeune acteur prometteur, le Old School François Berléand toujours aussi bon dans son rôle de malade impulsif et deux jolies pépées soit Aure Akita et Claude Perron, qui a été révélée par Dupontel dans "Bernie".
 
La brochette d'acteurs constituant les membres de la société de transports de fonds sont tous bons et la réalisation impeccable jusqu'au dernier massacre, dernière fusillade réussie. La musique transporte le film tel un camion transportant des fonds. Véritable claque.
 

 



Jeudi 29 octobre 2009 à 11:58

Grindouse Double Feature 
Vu que je me sens d'humeur Tarantinienne, après "Sin City" j'ai la vague envie de vous rédiger un article sur le double Grindhouse réalisé par un des duos les plus talentueux du cinéma d'aujourd'hui. Il s'agit évidemment de Quentin Tarantino et son meilleur ami, Robert Rodriguez qui ont découvert qu'ils avaient les mêmes goûts cinématographiques, les mêmes posters affichés chez eux, les mêmes références. Ils ont du coup eu l'idée de réaliser un double programme, de deux films durant 1h 40 chacun, afin de refaire naître l'esprit des cinémas de leur époque. C'est à dire, les bobines manquantes, les préventions en dessin animé, comme quoi c'est interdit aux mineurs et la petite annonce avec la musique du style "Blaxpoitation" au début de chaque film.


http://all-the-movies.cowblog.fr/images/00785434photoafficheboulevarddelamort.jpgBoulevard de la mort (2007) réalisé par Quentin Tarantino

Avec
Kurt Russell, Rosario Dawson, Zoé Bell, Rose Mc Gowan, Sidney Poitier, Vanessa Ferlito...

Synopsis Mike la cascade, est un psychopate qui sillone les rues pour tuer grâce à son bolide ses victimes, qui sont de simples jolies filles. Mais lors d'une virée, pour tenter de tuer trois femmes, ils se trouvent qu'elles vont riposter, et que ça ne va pas être facile pour lui de finir son oeuvre.
 
Ma Critique :Encore un coup de maître signé Tarantino, qui signe là peut-être, son film le moins réussi vu la hauteur de ses autres oeuvres, mais qui dégage quand même uen sacrée énergie et un bohneur présent durant tout le film. Le film est soutenu par cinq éléments :

Tout d'abord le rôle de Mike La Cascade (Mike Stuntman en V. O.) joué par le Old-School Kurt Russell, excellent et irrésistible dans son rôle de psychopate à la recherche de jolies filles grace à sa voiture quie st sensée faire "Peur". Le fait que Kurt Russell, rejoue dans des films, bien après tous les John Carpenter où il a joué (The Thing, Los Angeles 2013), il était certes un peu has been, mais Tarantino s'est chargé de le relancer, comme il a fait pour Pam Grier dans "Jackie Brown", le regretté David Carradine dans "Kill Bill
" ou encore John Travolta dans "Pulp Fiction".

Les jolies demoiselles qui jouent les rôles des Pin-Ups victimes de Mike, sont également sublimes. Le premier groupe de filles, n'est pas génial et pas très attachant car les actrices ne sont pas extremement talentueuses, en particulier la fille du gogo-dancing, Vanessa Ferlito, qui danse bien mais qui joue comme un pied. Par contre, le deuxième groupe est parfait. Composé de Rosario Dawson, qu'on a pu apprécier dans "Sin City", Zoé Bell femme cascadeur, qui a doublé Uma Thurman dans Kill Bill 1 & 2, qui elle, est parfaite dans son propre rôle. Et dans ce groupe, on peut aussi compter une cruche qui n'aura pas beaucoup de rôle, même si elle le tient très bien, et la derière , qui est  cool également. On a donc un chouette groupe de filles qui rendra le film, en quelques sortes Féminin.

Surtout par les dialogues, principal élément du film (qui est toujours l'élément principal dans l'oeuvre de Tarantino), qui rélèvent la plupart des genres de discussions féminines, Sexe, beauté, mode... Les Courses poursuites de voitures sont vachement bien réussies à mon goût, même si la dernière peut dégager une certaine pénibilité, pour certaines personnes évidemment, puisque moi je me suis éclaté.

Le dernier et principal élément, toujours et frocèment présent dans les films Tarantinesques, c'est evidemment la musique. La musique dans ce film, est du rock à billy, du pur rock, voire même du hard-rock (comme The Coasters, Ennio Morricone, Jack Nitschze. Dans la scène du bar, meilleure scène du film, on peut relever quelques bon cameos tel Quentin Tarantino, dans le rôle du barman mais aussi son grand ami, Eli Roth, excellent, qui joue rôle d'un des petits copains des filles. "Boulevard de la Mort" m'a éclaté comme les autres Tarantino. Cette deuxième moitié "Grindhouse" est donc très bonne mais n'égale certainement pas la première moitié, que je vais vous chroniquer dans quelques lignes. Tarantino insiste au début sur la touche : images abimées, coupures dans le film, craquements.... Mais se calme par la suite.

Le film n'est certainement pas gore si ce n'est à une scène. Mais il a un certain charme, celui de Tarantino, jamais égalé par n'importe quel réalisateur. A ne surtout pas éviter par la critique quelque peu différente des autres Tarantino.


http://all-the-movies.cowblog.fr/images/planeteterreur1.jpgPlanète Terreur (2007) réalisé par Robert Rodriguez
Avec Rose Mc Gowan, Freddy Rodriguez, Josh Brolin, Bruce Willis, Marley Shelton...
Synopsis Aux USA, un groupe de personnes, dont une danseuse qui cherche une utilité à ses talents inutiles, deux frêres, un jeune homme au casier judiciaire non vierge, une mère et son enfant qui fuient son mari... essayent de survivre à une attaque de créatures semblables à des zombies et sont confrontés à une section de militaires responsables de l'apparition de ces créatures.

Ma Critique :  On commence cet excellent film, par une fausse bande-annonce, signée par le même réalisateur. "Machete" qui relate les aventures de Danny Trejo dans le rôle d'un mexicain à la tête dure, qui ressent une profonde injustice à cause du monde dans lequel il vit. Il se lie donc avec un curé joué par Cheech Martin, un des acteurs fétiches de Robert Rodriguez (Desperado, Il était une fois au mexique, Une Nuit en Enfer...). La bande-annonce est à se pisser dessus, tellement c'est con et tellement c'est ironique. A prendre surtout au second dégré

 Planète Terreur, doit être le film le plus dégueulasse que j'ai jamais vu. du début jusqu'a la fin... c'est un truc de fou. Mais par la second degré extremement bien dosé par un casting irrésistible, ça donne u film parfaitement ironique, parodie de film d'horreur ou plus précisèment, de film de zombies (genre Georges A.  Romero ou Dante Argento). je parle de casting irrésistible, car il l'est. surtout par Rose Mc Gowan, qui nous livre une fabuleuse danse de Gogo dancing, dans le générique de début, mais qui par la suite, à une mitralliette à la place de la jambe gauche (arrachée par des zombies).On a également le très bon Freddy Rodriguez. Mais surtut l'extraordinaire Josh Brolin, qui a dernièrement joué dans Harvey Milk (Gus Van Sant, No Country For Old Men (Freres Coen) ou encore le biopic sur Georges W Bush, "W" par Oliver Stone. Puis aussi Bruce Willis, qui n'a pas un énorme rôle, mais qui est totalement irrésistible, racontant qu'il a tué Ben Laden. On peut aussi compter un joli cameo de Quentin Tarantino, évidemment présent sur le tournage du film avec un rôle de soldat qui compte violer les deux pin-ups du film mais qui a les testicules qui fondent (au sens propre du terme je précise) et oui... ^^.

J'aime beaucoup ce style de film, ironique, gore ect... Il dégage une énorme jubilation. Et c'est à la fois dégeulasse et drôle. C'est en fait un subtil mélange entre "Zombies" et "Une Nuit en Enfer".

Les situations du film sont en devenir cultes. Comme par exemple, les deux frêres, l'un cuisinier, qui détient la meilleure recette de sauce barbecue jamais crée et son frêre policier, qui le tâne durant tout le film pour qu'il donne la recette. Et puis vers la fin, juste avant l'explosion, le cuisinier lui avoue la recette. Mais il y a aussi, le coup du père de Marley Shelton, qui shoote son mari (Josh Brolin), devenu zombie, et lance "Jamais aimé ton mari, il était aussi inutile qu'une queue de curé"

Franchement irrésistible, Robert Rodriguez frappe plus fort que son ami. Il est beaucoup plus tape à l'oeil, c'est sur, mais sur le domaine Grindhouse, il assure, il y insiste beaucoup plus. Il y a continuité dans la mocheté de l'image, et lors d'une certaine scène graou entre Freddy Rodriguez et Rose Mc Gowan l'image brûle et il y a une intermission, comme quoi le projectionniste a brûlé la bobine. Irrésistible, des films comme je les aime.

Les Fausses Bandes Annonces

Les Deux films aussi bien réussis l'un que l'autre sont accompagnées d'excellentes fausses bandes annonces, retracant plusieurs sous styles grindhouses que voici :

-Machete réalisé par Robert Rodriguez. Avec Danny Trejo, Cheech Martin, Jeff Fahey. Robert Rodriguez compte sortir un film entier extrait de cette bande annonce dans les années à venir. La meilleure a mon goût

-Don't réalisé par le grand Edgar Wright, également réalisateur de Hot Fuzz et Shaun Of The Dead. Avec Kurt Russell, Nick Frost (l'un des deux dans le duo Pegg/Frost, Jason Isaacs...

-WereWolf Women Of The SS réalisé par l'ex métalleux Rob Zombie, un des plus gros psychopates du cinéma (remake de Halloween, The Devil's Reject...). Avec le très bon Nicolas Cage, Udo Kier, Sibby Daning...

-Thanksgiving réalisé par Eli Roth (Hostel 1 et 2). Avec Jeff Rendell, Liliya Malkina, Kevin Wasner.

-Hobo With a Shootgun réalisé par un trio inconnu, John Davies, Jason Eiseners et Rob Cotteril. Avec David Brunt & Mike Jackson. C'est la bande annonce gagnante du concours.
  
 
« Des films faits avec peu ou pas d'attention à la qualité ni au mérite artistique mais dans la perspective d'un bénéfice rapide, habituellement par l'intermédiaire de techniques de vente sous pression et de promotion qui insistent sur l'aspect sensationnel du produit » (Ephraim Katz)


Samedi 24 octobre 2009 à 13:52

http://all-the-movies.cowblog.fr/images/sincity.jpgSin City (2005) réalisé par Robert Rodriguez, Frank Miller & Quentin Tarantino
Avec Bruce Willis, Mickey Rourke, Clive Owen, Jessica Alba, Benicio Del Toro, Michael Madsen, Elija Wood...
Synopsis Dans, Sin City, une ville infestée de criminels, de pin-ups et de flics corrompus, se déroule Trois histoires sans rapport les unes des autres qui se croiseront.

Ma Critique :  Prenez trois BD graphiques de la collection "Sin City" dessinées par Frank Miller, reprises au cinéma par l'auteur même, et le cinéaste chili con carne, pro dans les scènes d'action et dans l'ironie pure, Robert Rodriguez. Puis ajoutez-y un casting exceptionnel avec le come-back de Mickey Rourke et surtout le petit épice donné par le génial Quentin Tarantino, qui réalisera une scène du film, la meilleure. Ca donne Sin City.
  Je l'ai acheté en triple édition collector avant même de l'avoir vu. J'étais un fervent fan des BD graphiques de Frank Miller. En particulier la BD "300" et la collection de Sin City justement. Je le suis toujours mais je les ais tellement lues que maintenant, je les connais par coeur. Les Trois histoires reprises, sont : la premiere au titre de Sin City en français, mais en anglais, "The Hard Goodbye; puis "Cet Enfant de Salaud" et "Le Grand Carnage".
 
Le noir et blanc graphique est tout simplement sensasionel, extraordinaire. Le principe de mettre un film en noir et blanc et d'ajouter des touches de couleurs, tels le sang ou la couleur jaune du fils Roark, métamorphosé. C'est tout simplement extraordianaire. Ce fait partcipe amplemant à la grandeur du film. On arrive tout de même à distinguer la marque de la patte Tarantinesque car le film est découpé de la même manière que Pulp Fiction et la scène qu'il a réalisé est vraiment sublime. Pour ceux qui savent pas, c'est celle ou Benicio Del Toro alias "Jackie Boy" nargue Clive Owen alias "Dwight" dans une voiture alors qu'il a la gorge ouverte. Le film est certes ultra-violent, et mérite bien son -12, même si j'aurais opté pour un -16. Mais le film est tellement bon, la réalisation est tellement parfaite et les acteurs tellement sublimes (du genre Jessica, que l'on ignore les scènes de torture ou la scène de la castration par Bruce Willis, le has-been. Mickey Rourke en "Marv" est vraiment chouette, et incarne hyper bien son rôle, surtout dans sa marche sous la pluie, magnifique scène, qui accompagne son désir de vengeance.

Le film est donc énorme, je l'adore et il ferait surement parti de mes films préférés. Je vais l'arreter là car je me fais du mal.... Bonnes vacances à tous!


Dimanche 4 octobre 2009 à 17:38

http://all-the-movies.cowblog.fr/images/orangemecanique1971aff01g.jpgOrange Mécanique (1972) réalisé par Stanley Kubrick
Avec Malcom Mc Dowell, Patrick Magee, Warren Clarke, James Marcus, Micheal Tarn...
Synopsis Au XIXe siècle, où régnent la violence et le sexe, Alex, jeune chef de gang, exerce avec sadisme une terreur aveugle. Après s'être fait balancé par ses droogies, pendant son emprisonnement, sert de cobaye à des Psychanalystes faisant des experiences cherchant à juluger la criminaité.

 Ma Critique : "Dans son inconscient, chacun tue et viole...", c'est ce qu'avait dit Stanley Kubrick à la sortie d'Orange Mécanique, pour justifier son film, qui a suscité un véritable scandale aux Etats Unis, et qui fut interdit en France.
 
C'est vrai, qu'il est violent ce film, assez choquant psychologiquement. Mais ceux de cet époque ont toujours considérés ce film comme un truc totalement inregardable. Alors que maintenant on fait des films beaucoup plus gores et violents et au niveau du sexe, j'en parle pas, si ce n'est qu'on voit que des nibards tout le long du film alors qu'au moment où je vous parle, il y a surment un porno qui doit être tourné dans une grange aux fin fonds du Mexique (haw haw haw haw, référence de merde).
 
  "Orange Mécanique" est peut-être l'un des plus grands films qui n'aient jamais été réalisés, Kubrick filme avec expertise une oeuvre directement adaptée du tout aussi excellent "L'orange Mécanique" de Anthony Burgess. Il avait ecrit ce livre en pensant à spn ex-femme qui a été violée puis assassinée par des psychopates du genre d'alex. J'ai pu lire ce livre avant de voir ce monument cinématographique.
 
  "Il Y Avait Moi, c'est à dire Alex, et mes 3 Droogies..." c'est cette phrase dite par Malcolm Mc Dowell après un magnifique plan qui zoome tout doucement sur le visage d'Alex qu inspire la haine.  Sous la musique de Walter Carlos, magnifique musique de Walter Carlos... Faut dire que Kubrick a aussi demandé aux Pink Floyd d'emprunter "Atom Heart Mother Suite" pour le début de son film, mais Roger Waters a refusé, comme un gros con... J'ai vu une vidéo sur You Tube qui montre le début d'Orange Mécanique avec la fabuleuse musique des Flamands Roses, et ça donne bien, dommage que les Pink Floyd aient refusés. Alex est donc un jeune de 16 ans, dans le livre ils disent qu'il a 14 ans, mais ça ferait de lui un jeune un peu précoce... Il adore Beethoven, en particulier la 9eme symphonie. Mais un jour en s'intruisant dans la maison d'un écrivain avec ses droggies, qu'il traite comme des chiens, il viole sa femme, eet tabassent l'écrivain. Les Droogies abandonnent Alex, qui se retrouve dans les mains de la Police. Au moment de l'expérience que subit Alex par les Psychanalystes on ressend la même nausée qu'Alex. C'est ça qui fait l'ambiance glauque du film, moi je trouve. Le film suis donc son cours, il parait extremement court, et la fin est vachement tirée par les cheveux. Mais la derniere séquence est totalement énorme avec surtout la derniere phrase dite par Alex qui fera preuve d'un excellent rebondissement. 
 
J'adore ce film et son esthétisme est indémmodable. Le film a pris certes quelques rides, mais n'a pas perdu son charme.


Vendredi 2 octobre 2009 à 20:12

http://all-the-movies.cowblog.fr/images/TheUsualSuspects.jpgThe Usual Suspects (1995) réalisé par Bryan Singer
Avec Kevin Spacey, Gabriel Byrne, Benicio Del Toro, Stephen Baldwin, Kevin Pollack...
Synopsis
Lors d'une arrestation pour un délit qu'ils n'ont pas commis, cinq maîtres du crime font connaissance. Ensemble, ils décident d'organiser un vol de diamants qui leur rapportera trois millions de Dollars et leur permettra de moucharder près de cinquante policiers corrompus. Ce coup d'éclat leur vaut d'être engagé par l'avocat Kobayashi pour un nouveau forfait. Débute alors une inéluctable descente aux enfers qui les conduira dans les griffes d'un génie du crime aussi mystérieux que puissant : Keizer Soze.

Ma Critique :  Bryan Singer n'est pas un cinéaste ultra connu, pourtant je trouve qu'il a du talent. Son dernier film "Walkarie" est plutôt plaisant, avec un Tom Cruise en forme, une réalisation impeccable et une reconstitution historique. Mais là n'est pas le sujet, toujours dans la lignée des films proposés par "Le Monde", voici l'extraordinaire et cultissime "The Usual Suspects". Un des premiers films que j'ai pu apprécier quand j'ai pu réellement m'interesser au cinéma, et en particulier aux films policiers. Le meilleur point positif du film est évidemment Kevin Spacey. Cet excellent acteur, qui à réellement montré son potentiel dans des films aussi bons que "The Usual Suspects" comme "American Beauty" ou encore le monument "Se7en" que je vais chroniquer dans quelques temps. Il a le don de pouvoir jouer psychopates ou gentils bohnommes tout pleins, Serial Killer ou simple vulgaire américain. Il tient là peut-être son plus grand rôle (j'hésite avec Se7en). 
 
C'est dur de parler de ce film sans vous raconter la fin, ce qui ferait de moi un énorme connard je présume... Mais tout ce que je peux vous dire, c'est qu'on se prend une sacrée claque à la fin du film. Et que le rebondissement est sensasionnel. Le film compte aussi une belle brochette d'acteurs, comme le génial Benicio Del Toro qui est un acteur que j'aime particulièrement et aussi Kevin Pollak et l'un des trois frêres Baldwin, Stephen.
 
  L'histoire est montée de toutes pièces surmontée d'une réalisation impeccable et d'une reconstitution si bien foutue que l'on n'arrive pas à distinguer Réalité et Mensonge. L'intrigue est parfaite, le film l'est tout autant. Merci "Le Monde"!

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