Fight Club (1999) réalisé par David FincherAvec Brad Pitt, Edward Norton, Helena Bohnam Carter...
Synopsis Un gars dont on ne connaît pas le nom est complétement paumé dans la société. Ils a des insomnies, des déjà-Vus... Son seul bohneur étant de choisir des bons meubles de chez Ikea pour son appart, il vit une vie monotone et dans une solitude totale. Mais sa vie change tout d'un coup, lorsqu'il rencontre Tyler Durden, fabriqueur de savon, qui est tout le contraire de lui. Ils vont faire plus ample connaissance, vont cohabiter ensemble et vont fonder un club surnommé le "fight Club". Le principe est de se battre avec des menbres du club pour le plasir. Les deux premieres de ce club sont : règle n°1 : On ne parle jamais du Fight Club; Règle n°2 : On ne parle jamais du Fiht Club (On ne parle jamais du Fight Club). Peu à peu, le narrateur changera sa vie mais découvrira une vérité à la fin du film, que je vous laisse découvrir...
Ma Critique : David Fincher est l'un des plus grands, je l'ai toujours dis, puisqu'il fait parti de mes trois cinéastes préférés avec Tarantino et les frêres Coen. Ce gars m'avait foutu une claque pas possible avec "Se7en", que je chroniquerais par la suite. J'ai vu ensuite Fight Club qui m'a définitivement prouvé que Fincher est un excellent cinéaste plein de talents et d'originalité. "Zodiac" , "L'étrange histoire de Benjamain Button", "The Game" ou encore le troisieme volet de la quadrilogie "Alien 3". Il n'a fait que des chefs d'oeuvres. Je n'ai pas lu la nouvelle de Chuck Palanhiuk, qui avait apparemment eu l'idée de cette histoire, après s'être fait tabasser par ses voisins de campings rétifs à l'idée de baisser le volume de leur radio. Brad Pitt est extraordinaire comme d'habitude et j'aime beaucoup Edward Norton qui est à l'aise dans son rôle de mec paumé par "La société m'oppresse" et surtout Helena Bohnam Carter, la muse de Tim Burton, très talenteuse.
La musique est un des meilleur points du film. Je suis pas très techno mais une BO pareille signée "The Dust Brothers" et qui inclut un titre du grand Tom Waits et "Where Is My Mind" des Pixies qui figure sur la fin puis dans le générique (magnifique plan de fin). Enfin bref, ce film illustre complemtement bien la folie. C'est un petit chef-d'oeuvre qui j'espere, restera gravé dans l'histoire du cinéma pendant très longtemps. Il serait d'ailleurs peut-être temps que je le vois. Il reste au moins un de mes films préférés qui m'a procuré un bohneur extreme, surtout quand on regarde un film pareil en VO!
Sympa ton blog, et on a beaucoup de films en communs. Un peu trop d'ailleurs. Serait-tu mon double? ou mon jumeau de cinéma?